Le partage de fichiers risqué et non sécurisé a inspiré cette administration. Voici pourquoi.

« Ce fichier est trop volumineux pour être envoyé. »

Cela nous est tous arrivé. Lorsque le temps presse et qu’un fichier est trop volumineux, les méthodes risquées de transfert de fichiers publics deviennent soudain une option très séduisante. La sécurité cède la place à la facilité. Cela pose un problème systémique et de gros risques de sécurité pour les administrations locales. L’administration locale de Söderhamn, qui supervise une région côtière de Suède, a décidé de ne pas se précipiter pour interdire ce comportement, mais plutôt d’en examiner les raisons. Puis, se tournant vers la technologie moderne du Cloud, ils ont cherché à combler le déficit de productivité qui était à l’origine des pratiques non sécurisées.

Söderhamn est composée d’environ 500 petites îles suédoises, disséminées le long de sa côte continentale. Célèbre pour ses « collines bleues » historiques, elle cache une autre ressource dont la notoriété a moins à envier : une infrastructure sur site vieillissante, causant de nombreux problèmes de productivité. Avec les nouvelles lois du GDPR planant sur toutes les pratiques des administrations telles un chien de garde trop zélé, le statu quo ne pouvait être maintenu, et une nouvelle façon de travailler est devenue vitale.

Les avantages

Parmi les 2 500 employés à temps plein, allant du secteur de l’éducation à celui des soins de santé, des documents sensibles étaient régulièrement partagés avec des outils de partage de fichiers, par e-mails et, plus choquant, par écrit. Consciente que ces pratiques avaient lieu en raison d’un manque d’infrastructures et de logiciels disponibles pour accomplir son travail en toute sécurité, Söderhamns Kommun (commune de Söderhamn) s’est tournée vers les outils de productivité et de sécurité intégrés à Microsoft 365 permettant à ses employés de disposer d’un environnement sûr pour communiquer et innover.

« Nous avons vu les avantages qu’ils procuraient. » Nous ne voulions pas empêcher les gens d’utiliser des données d’une manière qu’ils ne devraient pas, parce que c’est beaucoup plus pratique. Nous devions fournir une solution et un environnement où les gens ne devaient pas inventer leur propre façon de faire. »

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