Microsoft réunit régulièrement les CIO de ses clients pour examiner les dernières évolutions technologiques. Les CIO témoignent de leurs expériences et les partagent avec leurs homologues d’autres entreprises. Au dernier CIO Advisory Board, Rik Holvoet (BekaertDeslee) et Werner Godaert (Vandemoortele) ont témoigné de leurs projets avec Microsoft Azure.
La fiabilité tous azimuts est indispensable pour exploiter un datacenter : le chiffrement le plus puissant, les normes les plus strictes en matière de sécurité anti-intrusion, la résistance aux dénis de service distribués (DDoS) les plus lourds et autres attaques, l’immunité contre la perte de données, le tout en respectant les dernières règles en matière de confidentialité ainsi que les dispositions les plus récentes en matière de législation et de conformité du secteur. Votre département IT peut-il encore suivre ce rythme ou la mission s’annonce-t-elle impossible sur le plan budgétaire ?
Sécurité par défaut
Parallèlement, vous avez le cloud, qui répond par défaut à toutes les exigences nécessaires en matière de sécurité et de confidentialité. « Le cloud de Microsoft assure une protection nettement supérieure à celle que nous pouvons nous-mêmes mettre en place », a récemment indiqué Rik Holvoet, CIO de BekaertDeslee, au cours de notre conférence CIO Advisory Board. Son collègue Werner Godaert, Infrastructure Manager chez Vandemoortele, a exprimé le même avis pendant sa présentation : « Personne ne peut fournir le niveau de sécurité et de conformité proposé par le cloud Microsoft pour quelque secteur que ce soit. L’ensemble des certificats et des réglementations pris en charge par Microsoft est impressionnant et sans doute unique. »
Le cloud sur la première marche
Travailler sur la base du modèle de cloud hybride relève de l’évidence pour les CIO de BekaertDeslee et de Vandemoortele. Les deux entreprises sont partisanes d’une approche « cloud first » et n’adoptent une solution alternative que si le cloud ne convient pas à l’une ou l’autre application. Ils réduisent ainsi leurs risques opérationnels – des erreurs humaines aux pannes de courant – à quasiment zéro. Dans le même temps, ils compriment considérablement leur budget et augmentent la capacité de leur infrastructure IT.
En adoptant Microsoft Azure, ils ont, comme ils se plaisent à le souligner, opté pour le fournisseur le plus fiable. Le traitement des données est totalement transparent, les normes de sécurité sont très élevées, vous choisissez vous-même où vos données sont enregistrées et vous gardez la maîtrise totale de vos applications et fichiers.
Prestation de services inégalée
La prestation de services des plus grands fournisseurs de cloud, comme Microsoft, atteint désormais un tel niveau que les entreprises individuelles ne peuvent plus rivaliser. C’est pourquoi il n’est plus nécessaire de douter de la sécurité actuelle du cloud. Un Hyperscale Cloud, comme Microsoft Azure, propose désormais un fonctionnement nettement supérieur à ce qu’une entreprise peut offrir. Et ce constat ne porte pas uniquement sur une protection supérieure, mais également sur des performances supérieures et des coûts inférieurs.
Économie d’échelle
Erik Pelemans, Cloud Lead chez Microsoft Belux : « La règle d’or de l’économie d’échelle s’applique également au cloud. Plus le datacenter est grand, plus efficace est le travail et plus les investissements sont importants en matière de conformité, de sécurité, d’automatisation et de nouvelles applications. Nous entendons être et rester les meilleurs dans ce domaine. »
DRP complet pour quelques centaines d’euros
BekaertDeslee utilise Office 365, SharePoint et héberge SAP sur Microsoft Azure. Holvoet : « L’efficience de notre infrastructure IT a fait des bonds considérables. Par ailleurs, nos collaborateurs sont encore plus flexibles grâce aux outils collaboratifs comme Yammer. Nous avons aussi pris une longueur d’avance pour ce qui est de la gestion des accès : Azure AD assure un meilleur contrôle des droits d’utilisateurs. Nous n’avons plus qu’un seul serveur propre pour accompagner les flux de données. Même notre plan de reprise après sinistre (DRP) tourne sur Azure. Nous n’en avons pas encore eu besoin, mais il s’affiche à un coût particulièrement intéressant. Un DRP complet pour quelques centaines d’euros par mois, qui dit mieux ? »
Innovation IT au lieu d’externalisation IT
« Comment changer les pneus d’une auto qui roule ? », se demandait Werner Godaert. L’infrastructure IT de Vandemoortele devait être renouvelée. En raison de longues années d’externalisation, les connaissances internes étaient devenues insuffisantes. Godaert : « Nous avons migré vers le cloud en un seul mois pour un budget relativement peu élevé. Désormais, 70 machines de production tournent sur Azure. » Les budgets libérés grâce à la baisse des frais d’infrastructure et d’externalisation sont désormais investis dans l’innovation chez Vandemoortele.