« Les gouvernements du monde entier subissent des pressions qui les incitent à affranchir leur économie et leur infrastructure informatique des cyberattaques », constate Bruno Schröder, Directeur Technologie chez Microsoft Belux. « Afin de les contrer rapidement et effectivement, le partage d’information et la collaboration entre les secteurs public et privé sont essentiels. En ouvrant le Transparency Center, nous poursuivons le développement de notre programme de longue haleine qui garantit l’intégrité des produits Microsoft aux collectivités publiques. »
Au Centre de Transparence, les autorités reçoivent non seulement l’accès au code source de logiciels fréquemment utilisés, mais également un aperçu de la vulnérabilité de leur infrastructure et de la manière de réagir aux incidents. L’information technique qu’elles peuvent y consulter leur permet de mieux sécuriser leur infrastructure informatique depuis la phase de développement jusqu’à sa maintenance.
« La sécurité numérique est un des piliers du monde numérique actuel » dit le ministre de l’Agenda Numérique Alexander Decroo. « Les efforts consentis en vue de protéger nos libertés et nos acquis exigent une action commune des collectivités publiques et des entreprises qui développent la technologie et la mettent à leur disposition. Gageons que le Centre de Transparence de Microsoft pourra y contribuer dans une très large mesure. »
Il existe désormais deux centres de ce type dans le monde : le Transparency Center de Redmond et celui de Bruxelles. L’entreprise entend ainsi encourager les relations avec les gouvernements et les organisations internationales. Le centre est ouvert aux institutions publiques du monde entier qui sont membres du Government Security Program, qu’elles aient ou non conclu un contrat commercial avec Microsoft. Pour le moment, 42 institutions de 23 gouvernements en sont membres.
Vous trouverez un complément d’information dans ce blogpost de Microsoft.